Tambours dans la nuit de Victor Dixen
Quatrième de couverture
Quand se
taisent les trompent des batailles, s'éveillent les tambours de la
nuit ...
1812. Pierre,
dix-huit ans, s'engage dans les troupes de Napoléon. Quelques jours
plus tard débute la plus ambitieuse guerre de l'Empereur : la
campagne de Russie. Mais la musique de la conquête n'est pas faite
que de marches victorieuses. D'où viennent les sinistres roulements
de tambours qui résonnent après le crépuscule ? Qui sont les
membres du régiment anonyme, unité de la Grande Armée oubliée des
livres d'Histoire ?
D'adagio en
fortissimo, de misterioso en furioso ... Victor Dixen réorchestre
l'une des pages les plus terribles de notre passé, dans une
vertigineuse symphonie en six mouvements.
Mon avis
Les mots sont
une musique à leur manière. Suivant comment une histoire est
racontée, elle suit son rythme et les émotions en font la mélodie.
Ici, on
retrouve toutes les nuances composant une symphonie :
- adagio :
croissance - rythme : tempo lent
- crescendo :
lente - intensité : en augmentant progressivement le son
- fortissimo
:fort - intensité : très fort
- misterioso :
mystérieuse
- doloroso :
douloureux
- furioso :
furieux - rythme : tempo rapide
Toutes ces
indications nous montre comment le tambour Pierre Valandrin va vivre
la plus grande guerre de Napoléon. En quelques pages, on va
s'attarder aux états d'âme du personnage. On va le suivre afin de
savoir ce qu'il va devenir pendant et après la guerre.
Victor Dixen a
crée une mini symphonie qui nous entraîne dans tous les états
d'âmes de son héros avec brio afin de nous faire vivre cette guerre
napoléonienne. Il nous donne envie de mieux connaître cette partie
de l'Histoire.
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